Peut-on qualifier l’EDR d’antivirus ?
𝗣𝗲𝘂𝘁-𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿 𝗹’𝗘𝗗𝗥 𝗱’𝗮𝗻𝘁𝗶𝘃𝗶𝗿𝘂𝘀 ? Actuelburo vous répond.
Non, pas exactement ! Bien qu’ils aient un objectif commun—protéger les systèmes contre les menaces—les deux outils sont très différents 🚫. Voici les principales différences entre un antivirus et un EDR :
𝗔𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝘃𝘀 𝗿𝗲́𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 🔄 :
L’antivirus se concentre sur la détection et la suppression des menaces connues via des signatures. L’EDR, lui, va plus loin avec une approche proactive, surveillant en continu les activités pour détecter des comportements suspects ou des menaces inconnues 👁️.
𝗦𝘂𝗿𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗿é𝗲𝗹 ⏱️ :
Contrairement à l’antivirus, l’EDR offre une visibilité continue sur les terminaux (ordinateurs, serveurs, etc.), ce qui permet de repérer des attaques sophistiquées, comme les attaques zero-day ou les mouvements latéraux dans le réseau 🎯.
𝗥𝗲́𝗽𝗼𝗻𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘁𝗼𝗺𝗮𝘁𝗶𝘀é𝗲 🤖 :
L’EDR peut isoler une machine, collecter des preuves ou bloquer des actions malveillantes automatiquement. L’antivirus, de son côté, est principalement axé sur la suppression du malware détecté 🚫.
𝗔𝗻𝗮𝗹𝘆𝘀𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲 📊 :
Grâce à l’analyse comportementale et au machine learning, l’EDR détecte des anomalies complexes. L’antivirus, lui, est plus limité dans ce domaine 🔍.
En résumé :
Un EDR est plus avancé et complet qu’un antivirus 🛡️. Là où l’antivirus prévient les menaces connues, l’EDR englobe la détection, la réponse et la remédiation face aux menaces, même celles qui sont inconnues 💡.
👉 Et vous, êtes-vous prêt à passer à l’EDR pour renforcer la sécurité de votre entreprise ?